Le 8 mars, journée internationale pour les droits des femmes, concerne aussi les lesbiennes. Comme l’écrivent Kevin Galet et Antonin Le Mée, de la Fédération LGBTI+, dans un communiqué, « lutter pour les droits des femmes, c’est aussi lutter pour les droits des femmes lesbiennes, bisexuelles, transgenres et intersexes. » Et il y a urgence, car, « aujourd’hui encore », rappelle la porte-parole de l’Inter-LGBT, « les femmes et les minorités de genre sont moins payées. Elles sont la cible de violences physiques, sexuelles et symboliques. Elles ne disposent pas des droits qui leur permettraient de construire leur vie et leurs familles en toute autonomie ».
Pour exiger « la fin des violences faites aux femmes et aux minorités de genre, la fin de la lesbophobie, de la biphobie/panphobie, de la transphobie, de l’intersexophobie ! […] des droits pour les femmes et les minorités de genre qui nous permettent de mener nos vies librement et affranchi·e·s du cispatriarcat », toutes et tous sont invités à se joindre aux événements organisés par Grève Féministe dans l’hexagone.
Toutes les manifestations sont détaillées sur : http://www.grevefeministe.fr/